Les apparences sont trompeuses. [Elerinna/François]
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❝ François de Valois ❞
Univers : Reign. Royaume : Les pays historiques. Race : Humain. Messages : 13 Date d'inscription : 06/04/2018
Sujet: Les apparences sont trompeuses. [Elerinna/François] Dim 15 Avr - 13:35
Les apparences sont trompeuses.
François est inquiet, il ne peut le nier. Avec tout ce que Mary lui a appris, il n’a qu’une solution en tête : il faut que la France fasse des alliances avec d’autres royaumes. C’est la seule solution qu’il voit. Et son épouse est d’accord avec lui, c’est bien pour ça qu’elle est venue lui parler de tout ça. Même s’il regrette certaines choses qui se sont passées entre eux, le Roi est malgré tout heureux de voir qu’ils ont pu surmonter tout ça. Maintenant, ils sont ensemble et ça, ça n’a pas de prix. Depuis qu’ils se sont retrouvés, il a l’impression de revivre. Alors l’idée de la quitter, pour pouvoir aller conclure une nouvelle alliance, lui est insoutenable. Mais il n’a pas le choix. Son devoir passe parfois, avant son désir. Surtout que son épouse doit se rendre là où vit la mère des Dragons. Se dirigeant dans les couloirs d’un pas vif, il fait signe aux gardes de l’attendre au carrosse. Il veut dire au revoir à sa femme dans l’intimité. Poussant la porte de la chambre, il s’approche de Mary, lui déposant un doux baiser sur la nuque. Une dernière étreinte et il sort, après lui avoir fait promettre d’être prudente. Montant dans le carrosse, il fait un dernier signe à son frère qui va prendre les commandes du royaume en son absence, avant de refermer la porte.
Arrivant enfin sur les terres de Roxime, après de longs jours à voyager, François doit avouer qu’il est ravi. C’est que ce n’est pas très confortable, même s’il ne sent plains pas. Pendant ce temps, il a pu penser à son épouse et au fait qu’en rentrant, il faudrait qu’ils partent dans une maison qu’ils possèdent, tous les deux, pour se retrouver. Poussant doucement le rideau qui repose sur la vitre, François croit rêver alors que le carrosse traverse ce qui ressemble à une grande place. « Arrêtez-vous. » Sa voix est ferme. Le cochet arrête immédiatement les cheveux et aussitôt, François ouvre la porte, n’attendant pas qu’on le fasse pour lui. Un garde vient se poster derrière lui, mais il s’en moque. Fondant à travers la foule, il repère enfin la personne qu’il a vue. Attrapant délicatement le poignet de la femme, il sourit, même s’il ne comprend pas. « Mary que fais-tu ici ? Je croyais que tu étais partie pour une autre contrée, pour conclure une alliance ? Alors comment peux-tu être ici ? » Mais elle lui a manqué. Alors il se penche, dans l’unique but de l’embrasser.
Les apparences sont trompeuses. [Elerinna/François]